Le département d’État donne 330 000 $ aux groupes qui censurent et mettent sur liste noire les médias

Le département d’État donne 330 000 $ aux groupes qui censurent et mettent sur liste noire les médias


Par Adam Andrzejewski pour RealClearPolicy

Le département d’État a récemment donné 330 000 dollars à deux organisations qui ont financé The Global Disinformation Index, une organisation à but non lucratif britannique qui met sur liste noire ce qu’elle prétend être des « organes de désinformation », y compris des organes d’information politiques américains, dans le but de réduire leur financement publicitaire, selon le Examinateur de Washington.

Le Global Disinformation Index crée une “liste d’exclusion dynamique” des médias qu’il accuse de diffuser de la désinformation, puis les distribue aux agences de publicité, y compris des acteurs majeurs comme la société de publicité Xandr, propriété de Microsoft. Ces entreprises refusent alors de placer des publicités sur ces sites Web accusés de désinformation, entraînant une perte de revenus publicitaires.

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Selon l’Index, de nombreuses sources de droite telles que le Washington Examiner, le New York Post, le Daily Wire, Newsmax, The Federalist, Reason et même RealClearPolitics, se classent dans le top 10 des organes d’information « les plus risqués » en matière de désinformation. Certains d’entre eux, dont le Washington Examiner, figurent également sur la liste d’exclusion dynamique, ce qui entraîne une perte de revenus.

Le financement de The Global Disinformation Index provient de deux grandes entités, la National Endowment for Democracy et Disinfo Cloud, la première étant une organisation à but non lucratif qui reçoit la quasi-totalité de son financement des crédits du Congrès, et la seconde une plate-forme aujourd’hui disparue des départements d’État. Centre d’engagement mondial.

Il est faux que l’argent des contribuables américains aille vers une organisation à but non lucratif britannique, alors que l’Amérique a plusieurs centres et laboratoires de désinformation à l’intérieur de ses frontières, comme celui d’UT Austin. Laboratoire mondial de désinformation. Plus important encore, cependant, l’argent des contribuables ne devrait pas aller à une organisation à but non lucratif qui obtient la démonétisation des médias américains, en contradiction directe avec l’esprit de notre premier amendement.

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Le Congrès doit exercer une surveillance agressive sur ces organisations et d’autres à but non lucratif ciblant les médias américains pour s’assurer que l’argent des contribuables ne finance pas la censure.

Le #WasteOfTheDay vous est présenté par les auditeurs légistes d’OpenTheBooks.com

Syndiqué avec autorisation de RealClearWire.

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